Introduction
Quelques exemples :
La commercialisation : Les structures de commercialisation jouent également un rôle très important. En effet les Grandes et Moyennes surfaces commercialisent 2/3 de la production de légumes et influencent les pratiques culturales à travers leurs cahiers des charges. Souvent ces cahiers des charges spécifient les calendriers de production, les variétés, la qualité visuelle, et sont souvent plus exigeantes que la réglementation en matière de résidus phytosanitaires. Par exemple la désinfection au bromure de méthyle a été interdite par certaines GMS bien avant son retrait réglementaire, pas crainte d'avoir des résidus de brome dans les salades.
La politique agricole joue peu comparativement à d'autres secteurs de production car l'OCM fruits et légumes est faible.
Les traitements phytosanitaires : Les réglementations et incitations visant à réduire les traitements phytosanitaires
La sécurité sanitaire : les produits phytosanitaires appliqués sur les plantes ou les sols risquent de se retrouver dans les légumes, alors que l'on met souvent en avant leur valeur santé (cf la campagne « mangez 5 fruits et légumes » et les recommandations du PNNS). Les teneurs maximales de résidus sont définies par les lois françaises et européennes
