Cas sans aversion au risque | Risque avec fonction d’utilité CARA |
Risque Target-MOTAD | |
Assolement | 16 ha de blé dur 108 ha de tournesol 100 ha de choux semence |
100 ha de blé dur 49 ha de maïs semence 9 ha de betteraves semence 2 ha de carottes semence 41ha de choux semence |
100 ha de blé dur 48 ha de maïs semence 17 ha de concombre semence 35 ha de choux semence |
Location de terre | 24 ha | 0 | 0 |
Revenu moyen | 469 320 | 359 029 | 360 495 |
Revenus minimals (état de la nature) | -732 029 (E7) -332 199 (E10) |
57 964 (E7) 59 295 (E1) |
60 000 (E1) 110 000 (E7) |
Écart type | 650 654 | 359 029 | 221 934 |
Travail salarié | 408 heures | 459 heures | 416 heures |
Dans les deux méthodes, le revenu moyen est plus faible ainsi que l’écart type. Ce qui est normale car la diminution du risque implique un revenu plus faible.
On voit que la diversification de l’assolement est plus important avec la méthode de maximisation de l’utilité espérée. Mais cette plus forte diversification ne conduit pas forcément à la minimisation de l’écart type. En effet, l’écart type de la méthode Target MOTAD est le plus faible. On peut lier ce résultat au fait que même si l’assolement est plus diversifié en nombre de cultures différentes, deux cultures sont très faiblement cultivées et le choux semence par exemple qui a une variance très importante est encore très important. Par contre les quatre cultures du modèle Target MOTAD sont plus hétérogènes.
Si vous n’avez pas réussi à écrire le modèle ou pour vérifier vos équations, comparez avec le modèle suivant : modelEco_lauragaisFonctionUtiliteCARA.gms.